Servantes du Saint-Sacrement

Servants sealLes Servantes du Très Saint-Sacrement

Notre famille religieuse prend sa source dans la foi de notre fondateur, saint Pierre-Julien Eymard. Nous sommes des communautés de femmes consacrées au Christ Ressuscité présent dans l’Eucharistie. Nous voulons communier au même esprit d’amour qui a poussé Jésus à se donner lui-même en nourriture pour la vie du monde. Nous nous engageons à répondre au don de Jésus par le don de nous-mêmes. La célébration de l’Eucharistie, la Liturgie des Heures et l’adoration eucharistique sont les éléments principaux de notre mission. Nous nous efforçons également de faire de nos maisons des Centres d’adoration qui invitent nos frères et sœurs à s’approcher du Seigneur et les aident à croître spirituellement.

 

Histoire

Les Servantes du Saint-Sacrement partagent le même charisme que celui des Religieux du Saint-Sacrement. A peine a-t-il créé sa première communauté à Paris qu’e le P. Eymard songe à la branche féminine. Il oriente Marguerite Guillot vers la voie à laquelle il la sait appelée. Le 25 mai 1858, accompagnée de sa sœur Claudine et de Mme Richerd, elle se met discrètement à l’école du P. Eymard, rue du faubourg Saint-Jacques à Paris ; le 31 juillet 1859, les premières ‘Servantes’ prononçaient leurs vœux privés ; enfin le 26 mai 1864, elles reçoivent la reconnaissance canonique de Mgr Angebault, évêque d’Angers. Les quelque 600 conférences du P. Eymard aux Servantes, accessibles dans l’édition électronique de ses écrits, manifestent sa sollicitude singulière pour ses filles.

Marguerite GuillotAprès la mort du Père, Mère Marguerite eut la charge de veiller à la formation et à l’animation de la communauté d’Angers, qui ne cesse de grandir. Elle veille à améliorer les Constitutions rédigées par le Père, les présente à une première approbation en 1875, puis, dix ans plus tard, elle en reçoit l’approbation définitive du Saint-Siège. Peu après, le 7 juillet 1885, sa tâche achevée telle une fidèle servante, elle rend son âme à Dieu.

En 1900, la communauté parisienne, établie en 1876 rue Leclerc dans le 14e, occupe son nouveau couvent et sa chapelle, rue Cortambert, dans le 16e. Puis ce fut, l’expansion à l’étranger : en 1903 au Canada, en 1912 au Brésil, en 1947aux Etats-Unis, en 1950 en Australie, puis en Italie, aux Pays-Bas, aux Philippines enfin plus récemment au Vietnam, où plus d’une centaine de religieuses sont engagées de façon spéciale au service des handicapés et des pauvres.

Les modalités ont pu changer, mais l’idéal que le P. Eymard a confié à Marguerite Guillot demeure : former de véritables adoratrices de Jésus-Eucharistie sur le modèle de Notre-Dame du Cénacle, adorant et vivant autour du divin Tabernacle. (20 septembre 1856).

 

Sœurs au service de l'Eucharistie
"Nous sommes une congrégation eucharistique contemplative de sœurs. Nous sommes centrés sur la personne du Christ dans la plénitude du mystère eucharistique et entièrement dévoués à son amour et à sa gloire. La contemplation et l'amour apostolique sont unis dans une vie d'Adoration et dans les activités vers ce Mystère de la Foi. "(Règle de Vie # 1)
Les sœurs font tout leur possible pour que les chrétiens redécouvrent, l'aiment, l'adorent, et j'annonce où ils vivent. Au fil des ans, la Congrégation de France a étendu l'amour eucharistique irradiant dans le monde entier avec des communautés ouvertes en Italie, aux Pays-Bas, au Brésil, au Canada, aux États-Unis, en Australie, aux Philippines et au Vietnam.
 

 

La Maison Générale

20 rue Cortambert, 75116 Paris
Email: Secretary General: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.